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Blog d'une future banquière

17 novembre 2009

Voici une interview datant du 18 Septembre 2009 de Baptiste Fabre émise sur RFI. Veecus vu par un de ses fondateurs.

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15 novembre 2009

Le microcrédit

Qu'est ce que le microcrédit?

Le microcrédit consiste à prêter aux plus pauvres pour leur permettre de développer une activité économique, c'est leur faire prendre conscience de leur capacité à générer des revenus, les mettre en situation de réussite et les ouvrir à un développement économique, social et humain. Ils peuvent ainsi créer leur propre emploi et leur petite entreprise.

Un partenariat financier, pas l'aumône

Le concept même de microcrédit n'est pas de faire la charité. C'est tout le contraire. Il s'agit d'apporter une structuration financière réaliste pour que de vrais projets professionnels voient le jour et soient viables dans le temps. Le candidat à un prêt en microcrédit doit être véritablement porteur d'un projet opérationnel et réaliste. L'enjeu est de retrouver une place économique, une insertion sociale et financière qui permettra à terme au candidat d'accéder pleinement à des crédits classiques bancaires et des pratiques professionnelles et financières ordinaires. C'est un vrai chemin d'insertion par la création d'entreprise.

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Le microcrédit, un concept créé dans le tiers monde

Le microcrédit date du début des années 70. Sa mise en place est restée célèbre à la suite de la catastrophe du Bengladesh, en 1971. Là, se sont organisées des initiatives pour que cette population dévastée par la famine et la guerre puisse à nouveau vivre, travailler et se nourrir. C'est la fameuse Grameen Bank (http://www.grameen.com/) du professeur Mohammad Yunus. Depuis, le microcrédit a fait des adeptes dans toute l'Asie, en Afrique et en Amérique du Sud. A l'origine, les prêts étaient de l'ordre d'1 dollar. On estime aujourd'hui que le prêt moyen dans les pays en voie de développement est d'environ 100 dollars et concerne 10 millions de personnes, accompagnées à travers le monde par 2000 à 3000 organismes de microcrédit.

En France le microcrédit est également présent bien qu'il ne connaisse pas le succès qu'il peut avoir dans d'autres pays. La plateforme interactive Veecus (http://www.veecus.com) a été créé par 2 financiers Baptiste Fabre et Clément Carjat. Elle propose de prêter de l'argent à des entrepreneurs qui en ont besoin. Ce prêt est un "investissement social et intelligent qui donne accès à des sources de financement aux microentrepreneurs traditionnellement exclus du système bancaire". Les microentrepreneurs se situent au Cameroun, au Cambodge, en Inde, ...

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15 novembre 2009

Les étapes du financement de l'entreprise

Tout entrepreneur se trouve confronté un jour ou l'autre au financement d'un projet ou d'une entreprise. A.V. Bruno et T.T. Tyebjee ("The Entrepreneur's SearchSearch for Capital", Journal of Business Venturing, 1985) ont identifiés 6 stades dans le financement capital-risque:

  • Amorçage (Seed Money)

Un financement d'un montant faible destiné à tester un concept ou développer un produit. A ce stade, il n'y a pas de marketing.

  • Lancement (Start- Up)

Financement d'une entreprise âgées de moins d'un an. Les fonds sont généralement destinés aux dépenses de développement de produit et de marketing.

  • Premier tour

Financement additionnel pour débuter la production et les ventes après que l'entreprise a épuisé les fonds de lancement.

  • Second tour

Financement du fonds de roulement d'une entreprise qui réalise des ventes mais perd encore de l'argent.

  • Troisième tour

Financement du fonds de roulement d'une entreprise qui a au moins atteint son point mort et envisage une expansion. Egalement connu sous le nom de financement "mezzanine".

  • Quatrième tour

Fonds mis à la disposition d'une entreprise qui va probablement s'introduire en bourse dans les 6 prochains mois. Egalement connu sous le nom de financement relais ("bridge financing").

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15 novembre 2009

Investissement pour un projet professionnel

Des banques facilitent le financement des PME. Elles interviennent en cofinancement bancaire, garantie des crédits, financement de commandes publiques.

Créateur d'entreprise, une banque comme OSEO facilite le financement de votre projet : subvention, avance remboursable, cofinancement de crédit, garantie.

OSEO a financé la création ou la reprise de plus de 50.000 entreprises depuis le lancement du PCE (Prêt à la Création d’Entreprise) en 2001.

Avec l'aide à la création d'entreprise innovante, OSEO partage avec vous le risque lié à votre projet de développement d'un nouveau produit, procédé ou service, quel qu'en soit son degré d'avancement, de l'idée même jusqu'au prototype ou à la pré-série.

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Avant de créer son entreprise ! L'étude de marché occupe une place clé dans l'étape d'élaboration de son projet de création d'entreprise.

Vous avez un projet innovant et vous voulez créer votre entreprise? Le succès dépend d'une alchimie subtile entre projet, équipe, marché, technologie, ... Les décisions s'enchainent: quels choix technologiques faire, comment constituer mon équipe, comment rassembler les financements... ? Ce processus complexe nécessite de mettre en place une gestion organisée de projet qui permet d'analyser les différents facteurs agissant et de donner les indicateurs pour prendre les bonnes décisions.

Pour plus de renseignements, voir le site internet de OSEO: http://www.oseo.fr

15 novembre 2009

suppression de la taxe professionnelle

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La ministre de l'Economie Christine Lagarde juge impératif que "la taxe professionnelle soit supprimée au 1er janvier 2010" et remplacée par un système de compensation, mais assure que "la concertation se poursuivra" durant le débat, dans une interview au Journal du dimanche.
Mme Lagarde estime "normal qu'une réforme de cette ampleur (...) génère des questions et des inquiétudes", mais "cette réforme est nécessaire et ce n'est pas en la repoussant qu'on la rendra plus facile", affirme la ministre dans cette interview à paraître dimanche dans le JDD.
"Il faut que la taxe professionnelle soit supprimée au 1er janvier 2010 et que le système de compensation se mette en place", déclare Mme Lagarde, en parlant d'une "impérative nécessité pour nos emplois et pour l'investissement de nos entreprises" et d'un "engagement du président de la République". "Nous ne reportons rien et nous dialoguons", ajoute-t-elle.
Mme Lagarde estime que la critique selon laquelle la réforme serait menée sans concertation "n'est absolument pas justifiée", en soulignant que "la concertation a démarré en mars". Elle ajoute que "la concertation se poursuivra pendant toute la durée du débat".
La ministre de l'Economie précise encore que "tous les calculs ont été fournis à l'Assemblée nationale et au Sénat, en tenant compte des évolutions du projet de loi". "Chaque élu peut demander à mon cabinet une simulation des impacts de la réforme sur sa propre collectivité", déclare-t-elle.

http://www.lesechos.fr/info/france/afp_00201366-lagarde---il-faut-que-la-taxe-professionnelle-soit-supprimee-au-1er-janvier.htm

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26 octobre 2009

Garder un oeil sur la Bourse

Pour rester en permanence connecter avec le monde de la Bourse, Boursorama est là: http://www.boursorama.com/

Vous y trouverez tous les cours de Bourse des sociétés quotées du monde entier.

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26 octobre 2009

Un an en Afrique du Sud

Dans le cadre de mes études à l'INSEEC Bordeaux (http://www.inseec-france.com/), j'ai eu l'opportunité de faire une année de césure. Préférant partir à l'étranger plutôt que rester en France, mes recherches de stage m'ont conduites à Durban, en Afrique du Sud.

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Vous pourrez trouver ci-joint un rapport d'étonnement sur ce pays. Rapport_d_Etonnement

Au travers de ce rapport, je montre certains aspects du pays qui m'ont amusés, surpris, plus ou déplus. Toutes ces choses ont fait parti de mon quotidien pendant un an.

Cette année passée à Durban m'a permis de voyager mais aussi  (et surtout) de travailler dans un négoce d'import/ export. L'entreprise l'Enigme Mobilis http://www.mobilis.co.za/ achète et vend des produits piscine, des meubles de jardin, du charbon, des spas et saunas, des articles de bricolage, ...

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26 octobre 2009

Mon CV

26 octobre 2009

Obtenir un financement est-il devenu un peu, beaucoup ou très difficile ?

Trouver une solution auprès de sa ou de ses banques est plus difficile pour les PME que pour les grandes entreprises. Mais les banques françaises font de gros efforts pour être plus accueillantes et plus compréhensibles.

Le crédit à court terme se raréfie pour les entreprises. Les dernières statistiques de la Banque de France montrent que le ralentissement se poursuit sur cette catégorie de financement. En août dernier, l'encours des crédits de trésorerie était en diminution de 12,2 % par rapport au même mois de l'année précédente. Il représente actuellement 189 milliards d'euros, soit environ un quart du crédit aux entreprises.

Mais ce coup de frein ne touche pas toutes les entreprises de la même façon. Les PME sont plus affectées que les grandes entreprises, entend-on dire communément. Les chiffres de l'Observatoire du crédit du ministère des Finances le confirment. Alors que l'ensemble du crédit aux entreprises était en hausse de 1 % en juillet 2009 par rapport à juillet 2008, cet indicateur tombe à 0,8 % pour les PME.

« Pour des petites entreprises, la marge de manoeuvre est très faible : elles ne peuvent pas vraiment optimiser leurs coûts fixes. Elles ne possèdent généralement pas d'actifs dont elles puissent se séparer. Et une part très faible de dirigeants a prévu de licencier », indique Jean-Marc Jaumouillé, directeur des techniques professionnelles de la société d'expertise comptable Fiducial. L'entrepreneur et son banquier se retrouvent donc rapidement en tête à tête, avec une marge de négociation réduite.

Pourtant, la situation n'est pas forcément aussi sombre qu'elle en a l'air. Le dernier indicateur trésorerie de l'Association française des trésoriers d'entreprise portant, il est vrai, sur des « grands comptes » montre que la situation de la trésorerie d'exploitation est jugée « de moins en moins difficile ». Les demandes des entreprises en crédit restent majoritairement financées. Une étude de la Banque centrale européenne indique même que « plus de 80 % des entreprises françaises ont obtenu les crédits qu'elles avaient demandés auprès des banques », ce qui place la France devant l'Allemagne et l'Italie. D'où la position de la Fédération bancaire française qui impute le recul du crédit à une demande qui marque le pas et non à une réticence des banques à prêter.

Une affirmation que réfutent en partie les entreprises : selon le dernier baromètre KPMG-CGPME, 68 % des PME ont au moins un besoin de financement. Il y a donc bien une demande. Un phénomène « lié à de plus en plus de demandes de crédit pour les investissements » (44 % des besoins), qui passent devant les financements d'exploitation (36 % des besoins). Autre enseignement de ce baromètre, les conséquences de la crise sur l'accès au crédit. Elles sont jugées « importantes » pour « les entreprises en France », mais les dirigeants interrogés les jugent bien moindres pour leur propre activité. Autrement dit, une partie de la défiance se joue sur le terrain du ressenti et non de la réalité vécue.

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Levier psychologique

Car, au-delà des chiffres, l'incompréhension a peu à peu augmenté entre banquiers et porteurs de projet. « Un des soucis majeurs est de mieux faire comprendre le système de cotation utilisé par les banques, relève Jacky Lintignat, directeur général du cabinet KPMG. L'entrepreneur réfléchit en termes d'accroissement de son chiffre d'affaires ou de résultat net. Tandis que la banque s'intéresse surtout aux capitaux engagés et à la gestion du cash de son client. »

En communiquant régulièrement sur ce sujet, le gouvernement essaye de jouer sur le levier psychologique. Mais il agit aussi concrètement. En stimulant le renforcement des fonds propres, via les prêts participatifs d'Oséo ou les obligations convertibles du Fonds social d'investissement (FSI), les pouvoirs publics reconstituent indirectement une capacité d'emprunt de trésorerie pour les PME. Tandis que, mises sous pression, les banques multiplient les initiatives pour maintenir au-dessus de 3 % la croissance de leurs encours : + 3,7 % au deuxième trimestre 2009 pour la Société Générale (http://www.societegenerale.com), offre de cession de créances et enveloppe de 100 millions d'euros à taux bonifié en faveur des PME pour le Crédit Agricole (http://www.credit-agricole.fr/particuliers) ou encore plan d'envergure à la BNP Paribas (http://www.bnpparibas.com) qui a annoncé mobiliser 5 milliards d'euros sur quinze mois. En fin d'année, Bercy fera le point avec les banques sur le sujet.

Mais les réponses apportées ne portent pas uniquement sur le montant des encours. Pour mieux répondre à la demande, les banques ajustent les méthodes d'examen des dossiers qui leur sont proposés. Il ne s'agit pas d'assouplir l'examen du risque ou de relativiser les ratios d'endettement. Mais de compléter ces informations. Première piste, améliorer la communication entre l'agence de terrain et le comité de crédit chargé de donner son avis. « D'où l'intérêt de rendre plus systématique une double lecture des dossiers », fait valoir Henri Jullien, médiateur du crédit délégué et directeur des réseaux de la Banque de France.

Pools bancaires

Dans le même ordre d'idées, certaines banques modifient la composition des comités pour davantage prendre en compte le front-office en lien direct avec les clients. « Dans les années récentes, les banques ont recruté de nombreux jeunes gens, confrontés pour la première fois à une crise d'un telle ampleur, rappelle Henri Jullien. Ce qui a pu les conduire à se concentrer uniquement sur le ratio d'endettement, sans forcément prendre en compte les perspectives réelles d'évolution des entreprises clientes. » Un écueil que prétend éviter la BNP Paribas. « Dans nos centres d'affaires, l'encadrement est fortement expérimenté. Nos managers ont tous connu la crise de 1993, autrement plus violente sur les trésoreries des PME », explique Jean-Daniel Wurtz, responsable du marché entreprises à la BNP Paribas. « Par ailleurs, celles-ci ont fait preuve d'une grande réactivité par les mesures prises face à la crise, avec aussi des outils de gestion qui se sont professionnalisés au cours des dernières années. »

Sur des dossiers plus importants en taille, former des pools bancaires partageant le risque peut se révéler payant. La concurrence exacerbée dans la banque de détail avait fait perdre l'habitude aux établissements de crédit de se concerter. Or, à la Médiation du crédit, certains dossiers ont pu être débloqués par ce canal. C'est aussi aux banques de renouer le dialogue entre elles.

EDOUARD LEDERER

(16/10/2009)

http://www.lesechos.fr/pme/gestion/300383301.htm

20 octobre 2009

Construction d'un plan de financement

Pour construire ce tableau prévisionnel, le créateur devra :

  Pour l'année 1

Dans la colonne "besoins" :

- Reprendre le contenu du plan de financement initial (voir message précédent),

- Reporter le montant en capital des emprunts à terme (intérêts exclus, ceci sont à imputer au compte de résultat) qui sera remboursé sur le premier exercice,

- Pour les entreprises individuelles : indiquer les prélèvements de l'exploitant qui seront effectués au titre de sa rémunération.

A noter : le cas de l'exploitant d'une entreprise individuelle est particulier car ses revenus correspondent aux bénéfices dégagés par celle-ci. Or, dans le calcul de la CAF (capacité d'autofinancement), les prélèvements de l'exploitant ne sont pas défalqués, il est donc impératif de corriger la CAF en indiquant le montant de ces prélèvements annuels dans la partie besoins.

Dans la colonne "ressources" :

- Reprendre dans la partie ressources les éléments du plan de financement initial,

- Indiquer le montant de la Capacité d'autofinancement (CAF) qui se calcule de la manière suivante pour les entreprises en création :

CAF = bénéfices après impôts + dotation aux amortissements

A noter : selon les banquiers, il est nécessaire que, pour la première année, les ressources excèdent les besoins d'un montant représentant au moins 15 à 20 % du montant de la CAF. Cet excédent doit s'accentuer les années suivantes.

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  Pour les années 2 et 3

Il ne faudra prendre en compte que les seuls éléments nouveaux apparus dans les besoins ou les ressources durables au cours de chaque exercice respectif.

Dans la colonne "besoins" :

- Frais d'établissement : généralement, il n'y a pas de nouveaux frais d'établissement sur ces deux années.
Toutefois, certaines entreprises, telles que les entreprises innovantes, doivent réaliser de nouveaux investissements qui engendrent l'apparition de nouveaux frais d'établissement. On prendra pour exemple des frais liés à une campagne de publicité, des frais d'avocats, …

- Investissements : n'inclure que les nouvelles acquisitions, par exemple l'achat d'un nouveau véhicule,

- BFR (Besoin en fonds de roulement) : le BFR est indiqué uniquement dans le plan de financement initial. Par la suite, on prendra en compte sa croissance,

- Augmentation du BFR : le BFR initial correspond à un certain niveau d'activité qu'il est prévu d'atteindre : un certain niveau de stock, un certain délai de paiement accordé aux clients, …
Plus l'activité croît, plus le BFR augmente. Une hausse du chiffre d'affaires entraîne inévitablement une hausse du volume des stocks (les achats de marchandises sont généralement liés aux ventes) ainsi qu'une hausse des créances clients (les délais accordés aux clients sont identiques mais ces derniers sont plus nombreux).
L'augmentation du BFR due à une croissance du chiffre d'affaires devra impérativement être financée par des ressources stables de l'entreprise,

- Remboursement annuel des emprunts à terme : tout comme en année 1, on indique ici le capital des emprunts remboursés au cours de l'année en question,

- Prélèvement de l'exploitant : indiquer les prélèvements effectués en année 2 et 3,

- Dans les sociétés de capitaux : les associés perçoivent une part des bénéfices de l'entreprise sous la forme de dividendes. Les associés doivent attendre la clôture des comptes pour en recevoir, de ce fait, il est impossible d'en constater en année 1.

Dans la colonne "ressources" :

- Fonds propres : dans certaines entreprises (notamment les entreprises innovantes), il peut y avoir des augmentations programmées de capital en année 2 et 3,

- Comptes courants d'associés: indiquer les nouveaux apports,

A noter : lorsqu'un prêt bancaire est nécessaire, le banquier impose généralement le blocage des comptes courants d'associés pendant la durée du prêt, ceci afin éviter l'affaiblissement de la structure financière de l'entreprise.

- Primes-subventions : elles sont généralement versées en deux fois. Le second versement est souvent soumis au respect de certaines conditions comme l'embauche d'un certain nombre de salariés, …

- CAF : résultant des années 2 et 3,

- Emprunts bancaires et autres emprunts : à indiquer s'il est prévu de contracter de nouveaux emprunts.

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